Le Flamenco: danse créé par le peuple Andalou.
Le flamenco a été inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'UNESCO le 16 novembre 2010.
Il existe de nombreuses théories concernant la genèse exacte du terme « flamenco ».
Blas Infante dans son livre Origines du flamenco défendait l'hypothèse que le mot « flamenco » dérivait des termes arabes felah-enkum, qui associés signifient « paysan errant ». Il reprenait une terminologie déjà proposée à partir du mot fallah, et déclinée aussi en felahikum ou felagmenku. Cependant les flamencologues ont rejeté cette thèse, remarquant que le mot flamenco n'est apparu qu'au xixe siècle à une époque où l'influence arabe sur la langue espagnole avait disparu.
Tablado Andaluz from Daniel Dias on Vimeo.
Une autre théorie affirme que le flamenco était le nom d’un couteau ou d’un poignard. Dans la saynète El Soldado Fanfarrón, écrite par González del Castillo au xviiie siècle, on peut lire: El melitar, que sacó para mi esposo, un flamenco (« Le militaire, qui sortit pour mon époux, un flamenco »). Dans une autre copla (chanson) reprise par Rodríguez Marín, il dit : Si me s’ajuma er pescao (« Si le poisson brûle) / y desenvaino er flamenco (« et si je sors mon flamenco) / con cuarenta puñalás (« avec 40 coups de poignard ») / se iba a rematar el cuento (« allait se terminer l’histoire »). Cependant, cette hypothèse ne s’est jamais faite une place.
Blas Infante dans son livre Origines du flamenco défendait l'hypothèse que le mot « flamenco » dérivait des termes arabes felah-enkum, qui associés signifient « paysan errant ». Il reprenait une terminologie déjà proposée à partir du mot fallah, et déclinée aussi en felahikum ou felagmenku. Cependant les flamencologues ont rejeté cette thèse, remarquant que le mot flamenco n'est apparu qu'au xixe siècle à une époque où l'influence arabe sur la langue espagnole avait disparu.
Tablado Andaluz from Daniel Dias on Vimeo.
Une autre théorie affirme que le flamenco était le nom d’un couteau ou d’un poignard. Dans la saynète El Soldado Fanfarrón, écrite par González del Castillo au xviiie siècle, on peut lire: El melitar, que sacó para mi esposo, un flamenco (« Le militaire, qui sortit pour mon époux, un flamenco »). Dans une autre copla (chanson) reprise par Rodríguez Marín, il dit : Si me s’ajuma er pescao (« Si le poisson brûle) / y desenvaino er flamenco (« et si je sors mon flamenco) / con cuarenta puñalás (« avec 40 coups de poignard ») / se iba a rematar el cuento (« allait se terminer l’histoire »). Cependant, cette hypothèse ne s’est jamais faite une place.
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